« Dans mon processus, il y a beaucoup de liberté, je n’essaie pas de cadrer mon écriture, de lui imposer une manière de faire, d’écrire ou de penser. »
La liberté revient sans cesse dans le discours de Rosine Mbakam. Née au Cameroun où elle suit une formation en audiovisuel avant de travailler à la télévision comme reporter et réalisatrice, elle poursuit des études de cinéma à l’INSAS à Bruxelles dont elle sort diplômée en 2012.
Son premier long métrage documentaire Les Deux Visages d’une femme bamiléké sort en 2016. Suivent Chez Jolie Coiffure et Les Prières de Delphine, avant qu’elle ne présente Mambar Pierrette, fiction hybride nourrie de sa démarche documentaire, sélectionné à la Quinzaine des Cinéastes de Cannes.
Avec Rosine Mbakam, on a parlé de liberté donc, mais aussi d’héritage et de déconstruction, d’auto-censure et d’inspiration.
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