Au nom du fils est une aventure folle. On n’arrête pas d’être surpris par les gens, le public, les festivals.
Cette fête dure depuis plus d’un an. On a voyagé dans près de 10 pays, 15 festivals. On a récolté 5 prix. Et cela continue.
Le temps file, il est furtif. Mais si on valorise l’artisanat, si on « piédestalise » l’acte de la main de l’homme, si on regarde vraiment cette valeur ajoutée, chaque jour durera plus longtemps. Un peu comme une journée d’été même en hiver, une journée qui sera à marquer d’une pierre blanche.
Quand on observe ce que le cinéma belge comporte de facettes et de talents au km² et surtout d’énergie propice à la création, alimentant la capacité inouïe qu’a le Belge d’y croire toujours, simplement, mais toujours intensément, on ne peut que se réjouir.
Chaque fois que je la rencontre, cette putain d’énergie, je suis heureux.
Merci encore à toute l’équipe et à très vite pour une nouvelle aventure !