Nous avions découvert son film lors du Festival International du Film Francophone de Namur, où il avait remporté le Prix Cinevox. Noces a depuis circulé dans de nombreux festivals, et arrive enfin sur nos écrans. Nous avons rencontré Stephan Streker, qui nous parle de son film, ses défis, ses enjeux, ses comédiens, et sa place à lui, en tant que réalisateur.
« Chaque personnage est le siège d’enjeux moraux extrêmement puissants »
« C’est un mauvais point de vue de s’intéresser à une histoire dramatique en ayant comme grille de lecture: il y a les bons et les méchants. »
« Quand les choses sont gratuites au cinéma, ça n’a pas d’intérêt »
« Zahira, c’est l’Antigone d’aujourd’hui. Ses deux cultures s’additionnent, et ne se soustraient jamais »
« Je voulais faire un film lumineux, et plein d’énergie. »
« On a eu la chance de trouver Lina El Arabi, dont c’est le premier rôle et qui irradie l’écran. Sébastien, dès que je l’ai rencontré j’ai su que c’était lui, il peut tout jouer. »